Friday, April 6, 2012

Et sinon... Les canadiennes ?

La question revient trop souvent (précisément en 2e position après le célèbre "Ca va ? Tu n'as pas trop froid ?"), je me dois d'y répondre de manière groupée. J'ai laissé la mienne sur Montréal, un copain s'en occupe et la sort de temps en temps. Je regrette qu'elle ne soit pas venue avec moi au Yukon, au final on ne se sera connu que 4 nuits et en plus je n'étais pas le seul à profiter d'elle. 

Jusqu'à maintenant je n'avais testé quasiment que des françaises, le fameux modèle où y'a juste à tirer sur la languette et pouf... prête à l'emploi. Ce n'est qu'après "utilisation" que ça devient compliqué et encombrant. Ici, malgré tout l'attirail de la canadienne, quand on connait le truc, ça peut se monter assez rapidement et, contrairement à son homologue outre-atlantique, elle prend bien moins de place quand elle vous accompagne (surtout si elle est bien roulée). 

Françaises, canadiennes... c'est le jour et la nuit et après en avoir côtoyées plusieurs cet été (les gens vous prêtent facilement la leur pour une nuit ou deux ici), en y réfléchissant bien l'unique point commun doit être la fermeture éclair en guise de porte d'entrée.

...
Tadadoum tadadoum tadadoum toum Pchiiiii !
Désolé :)

Après deux ans de célibat intensif je ne vais plus pouvoir éviter la question si facilement. Alors oui je l'avoue, je m'autorise maintenant quelques fois des amours platoniques imaginaires unilatéraux et éphémères (pour ne pas dire ultra brefs) entre deux tranches de tomates délicatement posées dans le sandwich de cette cliente si charmante. Je ne parlerai pas de cette caissière qui m'a presque effleuré la main...



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